Guide de Vincent

Vincent
Guide de Vincent

Guide des Quartiers

Une carte interactive avec les différents points d’intérêts autours du leman est disponible sur le site de l’office de tourisme de Thonon-les-bains. Cliquez sur le lien suivant pour y accéder : https://www.thononlesbains.com/visiter/carte-interactive/
Canton de Thonon-les-Bains
Une carte interactive avec les différents points d’intérêts autours du leman est disponible sur le site de l’office de tourisme de Thonon-les-bains. Cliquez sur le lien suivant pour y accéder : https://www.thononlesbains.com/visiter/carte-interactive/
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Thonon-les-Bains
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Lieux touristiques

Haut lieu historique, culturel et vinicole de la Haute-Savoie, le château de Ripaille est aussi un des plus grands et remarquables sites naturels au bord du Léman. Autrefois retraite semi-religieuse du premier Duc de Savoie, Amédée VIII, aux XVIIe et XVIIIe siècles couvent des Chartreux, protégé du « siècle » par le haut mur qui l’entoure encore aujourd’hui, en 1900 propriété d’un grand industriel-esthète, Ripaille est depuis toujours un lieu où résidents et visiteurs viennent se « ressourcer ».
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Ripaille kastélya
83 Av. de Ripaille
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Haut lieu historique, culturel et vinicole de la Haute-Savoie, le château de Ripaille est aussi un des plus grands et remarquables sites naturels au bord du Léman. Autrefois retraite semi-religieuse du premier Duc de Savoie, Amédée VIII, aux XVIIe et XVIIIe siècles couvent des Chartreux, protégé du « siècle » par le haut mur qui l’entoure encore aujourd’hui, en 1900 propriété d’un grand industriel-esthète, Ripaille est depuis toujours un lieu où résidents et visiteurs viennent se « ressourcer ».
Les bienfaits de l’eau de Thonon-les-Bains sont reconnus depuis les temps anciens. Des romains, qui en rapportaient déjà les mérites diurétiques, au centre thermal Valvital aujourd’hui, chacun a su trouver dans l’eau de Thonon-les-Bains ses attributs les plus purs. Aujourd’hui, la ville et son appellation « les-bains » voient venir du monde entier des curistes qui ne demandent qu’à profiter des bienfaits rhumatologiques, diurétiques et diététiques de l’établissement thermal. Le centre thermal Valvital de Thonon c’est aussi 600 m carrés d’espace détente, un bassin thermal à 32°C avec vue panoramique sur le parc, agrémenté de lits et sièges bouillonnants, cols de cygnes, parcours de massage en immersion ainsi qu’une grotte musicale, sauna, hammam, puits d’eau froide, fontaine de glace, douches-expériences et soins d’eau ludiques.
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Valvital - Thermes de Thonon-les-Bains
1 Av. du Parc
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Les bienfaits de l’eau de Thonon-les-Bains sont reconnus depuis les temps anciens. Des romains, qui en rapportaient déjà les mérites diurétiques, au centre thermal Valvital aujourd’hui, chacun a su trouver dans l’eau de Thonon-les-Bains ses attributs les plus purs. Aujourd’hui, la ville et son appellation « les-bains » voient venir du monde entier des curistes qui ne demandent qu’à profiter des bienfaits rhumatologiques, diurétiques et diététiques de l’établissement thermal. Le centre thermal Valvital de Thonon c’est aussi 600 m carrés d’espace détente, un bassin thermal à 32°C avec vue panoramique sur le parc, agrémenté de lits et sièges bouillonnants, cols de cygnes, parcours de massage en immersion ainsi qu’une grotte musicale, sauna, hammam, puits d’eau froide, fontaine de glace, douches-expériences et soins d’eau ludiques.
Plongez au cœur du village des pêcheurs et découvrez l’écomusée de la pêche et du lac à Thonon-les-Bains qui a trouvé sa place dans trois guérites traditionnelles, et vit au rythme de ces professionnels de la pêche dont il est le gardien de la mémoire…
Ecomusée de la Pêche
Plongez au cœur du village des pêcheurs et découvrez l’écomusée de la pêche et du lac à Thonon-les-Bains qui a trouvé sa place dans trois guérites traditionnelles, et vit au rythme de ces professionnels de la pêche dont il est le gardien de la mémoire…
Le musée du Chablais au Château de Sonnaz, demeure historique, bénéficie d’un panorama exceptionnel sur le Léman. Il accueille des expositions permanentes ainsi qu’une exposition temporaire, qui tente toujours plus d’être au plus près de la mémoire de la région.
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Museum of the Chablais
2 Rue Michaud
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Le musée du Chablais au Château de Sonnaz, demeure historique, bénéficie d’un panorama exceptionnel sur le Léman. Il accueille des expositions permanentes ainsi qu’une exposition temporaire, qui tente toujours plus d’être au plus près de la mémoire de la région.
Cet édifice religieux majestueux fut achevé au début du XXème siècle. Maurice Denis y a peint ses dernières œuvres, les voûtes et vitraux méritent vraiment le détour. L’église Saint Hippolyte en bonne sœur siamoise, partage le même clocher, seul son style baroque permet de savoir où commence l’une et où finit l’autre.
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Basilique Saint-François-de-Sales de Thonon-les-Bains
65B Grande Rue
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Cet édifice religieux majestueux fut achevé au début du XXème siècle. Maurice Denis y a peint ses dernières œuvres, les voûtes et vitraux méritent vraiment le détour. L’église Saint Hippolyte en bonne sœur siamoise, partage le même clocher, seul son style baroque permet de savoir où commence l’une et où finit l’autre.
Retrouvez au sein de l’ancien couvent de la visitation, un pôle culturel regroupant la connaissance, la musique et l’art contemporain : La médiathèque, la chapelle – espace d’art contemporain, l’école de musique et de danse de Thonon et l’harmonie Chablaisienne de Thonon-les-Bains et du Léman, l’académie Chablaisienne, le choeur Amédée, le groupe folklorique Sabaudia, les Amis d’Eberbach, le centre généalogique de Savoie…tous font de ce pôle le noyau culturel de Thonon-les-Bains. Une bâtisse du XVIIème siècle remise au goût du jour pour générer du lien social mais également participer au dynamisme de la ville et accueillir les différents événements culturels. Coup de cœur : la magnifique et imposante verrière à l’entrée de la médiathèque.
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Library
2 Pl. du Marché
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Retrouvez au sein de l’ancien couvent de la visitation, un pôle culturel regroupant la connaissance, la musique et l’art contemporain : La médiathèque, la chapelle – espace d’art contemporain, l’école de musique et de danse de Thonon et l’harmonie Chablaisienne de Thonon-les-Bains et du Léman, l’académie Chablaisienne, le choeur Amédée, le groupe folklorique Sabaudia, les Amis d’Eberbach, le centre généalogique de Savoie…tous font de ce pôle le noyau culturel de Thonon-les-Bains. Une bâtisse du XVIIème siècle remise au goût du jour pour générer du lien social mais également participer au dynamisme de la ville et accueillir les différents événements culturels. Coup de cœur : la magnifique et imposante verrière à l’entrée de la médiathèque.
Appréciée des romains qui en avaient découvert les bienfaits, l'eau minérale naturelle Thonon, jadis baptisée "Eau de la Versoie", jaillit de la source du même nom. Au XVIe siècle, St. François de Sales, prédicateur de Thonon en recommanda les vertus... L'eau minérale naturelle de Thonon jaillit à la fontaine du "Champignon de la Versoie", ainsi qu'à la fontaine devant l'entrée des Thermes de Thonon. A consommer sans modération ! La source de la Versoie est fraîche (température de 13° à l'émergence), non gazeuse, limpide, de saveur agréable, faiblement minéralisée, riche en bicarbonate calcique et magnésium, particulièrement diurétique. En 1852, par don de Mlle. Joséphine Antoinette de Lort, la Ville de Thonon devint propriétaire de la Source de la Versoie. Sept ans plus tard, en 1859, le syndicat de la ville de Thonon fit faire les premières analyses de l'eau. Par un décret du 22 juin 1864, la source fut déclarée d'Intérêt Public et son exploitation autorisée. L'année 1882 vit les premiers travaux de captage en même temps que la construction du 1er établissement thermal (entre 1886 et 1888). En 1890, elle fut reconnue source de Santé Publique par l'Académie de Médecine. Dès lors, Thonon prit le nom de Thonon-les-Bains et figura parmi les stations thermales prisées de la Belle Époque. A partir de 1963, date à laquelle elle reçoit son label d'eau minérale naturelle, sa réputation se développe fortement : l'eau minérale naturelle Thonon devient l'une des plus jeunes eaux minérales naturelles françaises. L'eau de Thonon vue par notre éminente "Eaunologue" : "les caractéristiques de la Thonon sont : - vue : un aspect limpide, une couleur brillante, plutôt bleutée - odeur : une fraicheur végétale, légèrement citronnée et une arôme : pointe métallique en bouche - saveur : tendace sucrée avec une note amère - texture en bouche : légère, fraiche au final soyeux A quel moment du repas déguster la Thonon ? Pour ses dominantes sucrée et douce, elle peut satisfaire les plus petits et mieux convenir à un dessert : pour ne pas le choquer et parce que ses saveurs sucrées l'accompagnent."... Bonne dégustation !
Champignon de la Versoie
22 Av. du Général de Gaulle
Appréciée des romains qui en avaient découvert les bienfaits, l'eau minérale naturelle Thonon, jadis baptisée "Eau de la Versoie", jaillit de la source du même nom. Au XVIe siècle, St. François de Sales, prédicateur de Thonon en recommanda les vertus... L'eau minérale naturelle de Thonon jaillit à la fontaine du "Champignon de la Versoie", ainsi qu'à la fontaine devant l'entrée des Thermes de Thonon. A consommer sans modération ! La source de la Versoie est fraîche (température de 13° à l'émergence), non gazeuse, limpide, de saveur agréable, faiblement minéralisée, riche en bicarbonate calcique et magnésium, particulièrement diurétique. En 1852, par don de Mlle. Joséphine Antoinette de Lort, la Ville de Thonon devint propriétaire de la Source de la Versoie. Sept ans plus tard, en 1859, le syndicat de la ville de Thonon fit faire les premières analyses de l'eau. Par un décret du 22 juin 1864, la source fut déclarée d'Intérêt Public et son exploitation autorisée. L'année 1882 vit les premiers travaux de captage en même temps que la construction du 1er établissement thermal (entre 1886 et 1888). En 1890, elle fut reconnue source de Santé Publique par l'Académie de Médecine. Dès lors, Thonon prit le nom de Thonon-les-Bains et figura parmi les stations thermales prisées de la Belle Époque. A partir de 1963, date à laquelle elle reçoit son label d'eau minérale naturelle, sa réputation se développe fortement : l'eau minérale naturelle Thonon devient l'une des plus jeunes eaux minérales naturelles françaises. L'eau de Thonon vue par notre éminente "Eaunologue" : "les caractéristiques de la Thonon sont : - vue : un aspect limpide, une couleur brillante, plutôt bleutée - odeur : une fraicheur végétale, légèrement citronnée et une arôme : pointe métallique en bouche - saveur : tendace sucrée avec une note amère - texture en bouche : légère, fraiche au final soyeux A quel moment du repas déguster la Thonon ? Pour ses dominantes sucrée et douce, elle peut satisfaire les plus petits et mieux convenir à un dessert : pour ne pas le choquer et parce que ses saveurs sucrées l'accompagnent."... Bonne dégustation !

Patrimoine naturel

Sans aucun doute l’immanquable et le plus célèbre par sa grandeur et ses paysages aux ambiances de Riviera. Trait d’union entre la France et la Suisse, il offre 53 km de rive française sur les communes du Chablais. Promenades le long de la rive, randonnées pour prendre de la hauteur ou simplement farniente ensoleillée, le lac Léman saura vous faire voyager à pieds, en bateau ou à vélo… vous avez 180 km pour en faire le tour !
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Genfi-tó
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Sans aucun doute l’immanquable et le plus célèbre par sa grandeur et ses paysages aux ambiances de Riviera. Trait d’union entre la France et la Suisse, il offre 53 km de rive française sur les communes du Chablais. Promenades le long de la rive, randonnées pour prendre de la hauteur ou simplement farniente ensoleillée, le lac Léman saura vous faire voyager à pieds, en bateau ou à vélo… vous avez 180 km pour en faire le tour !
Nées sous un glacier, les Gorges du Pont du Diable se situent dans la Vallée d'Aulps et sont traversées par la Dranse de Morzine. La visite se fait à pied (120 mètres de dénivelé) pour découvrir l'histoire du Pont du Diable, vieille d'environ 10 000 ans. Ce site a été aménagé à partir de 1893 et a obtenu son classement en 1908. Il est depuis 2012, un site emblématique du Géoparc mondial UNESCO du Chablais. Il offre une sympathique et rafraîchissante balade en été, et un aperçu des forces naturelles, toujours en œuvre... Elles se sont formées par l’action d’anciens torrents sous-glaciaires. La Dranse de Morzine s’engouffre aujourd’hui dans des gorges calcaires, dominées par une arche imposante : le Pont du Diable. Les panneaux du Geopark vous dévoile sa légende et vous invite à guetter, sur les escarpements avoisinants, les chamois funambules des rochers et lécheurs de pierre. La promenade commence à travers une magnifique forêt de hêtres ; elle se poursuit quelques soixante-dix mètres plus bas, par un aménagement ancré dans la roche. Un premier escalier traverse un chaos d'énormes blocs encastrés entre les parois et nous livre un spectacle inattendu : la Dranse coule à près de cinquante mètres sous nos pieds, au fond d'un véritable gouffre... Situées sur le parcours de la Dranse de Morzine, les gorges du Pont-du-Diable offrent un exemple d'érosion dans les préalpes calcaires du Chablais, en Haute-Savoie. La rivière, alors qu'elle se trouvait déjà dans une vallée encaissée, a rencontré une barrière de calcaire — les rochers de la Garde — remontant au crétacé, puis recouvert à nouveau au jurassique. Cette configuration, a été érodée au fil du temps par cette rivière impétueuse, formant ainsi un défilé. Les parois se déploient comme d'immenses draperies et de curieuses excavations, les "marmites de géants" qu'ont creusé les tourbillons du torrent, renforcent le caractère fantastique du site. Tout au long du parcours, l'érosion a produit de véritables sculptures dans un matériaux de choix : un marbre gris "coussin géologique" de celui exploité dans la carrière de la Vernaz. Les ruissellements l'ont recouvert de dépôts richement colorés et si vous êtes un promeneur matinal, le soleil vous offre vers dix heures une palette magique : gris, verts, ocres et bleus évoluent au gré des premiers rayons. Ces gorges furent à l'origine un lit souterrrain creusé par des eaux infiltrées. Le chaos qui en obstrue la partie supérieure provient de la dislocation de sa voûte. Autre vestige de cet effondrement, un bloc isolé forme, à plus de trente mètres au-dessus du torrent, une arche imposante : le "Pont du Diable".
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Az Ördög híd szurdokai
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Nées sous un glacier, les Gorges du Pont du Diable se situent dans la Vallée d'Aulps et sont traversées par la Dranse de Morzine. La visite se fait à pied (120 mètres de dénivelé) pour découvrir l'histoire du Pont du Diable, vieille d'environ 10 000 ans. Ce site a été aménagé à partir de 1893 et a obtenu son classement en 1908. Il est depuis 2012, un site emblématique du Géoparc mondial UNESCO du Chablais. Il offre une sympathique et rafraîchissante balade en été, et un aperçu des forces naturelles, toujours en œuvre... Elles se sont formées par l’action d’anciens torrents sous-glaciaires. La Dranse de Morzine s’engouffre aujourd’hui dans des gorges calcaires, dominées par une arche imposante : le Pont du Diable. Les panneaux du Geopark vous dévoile sa légende et vous invite à guetter, sur les escarpements avoisinants, les chamois funambules des rochers et lécheurs de pierre. La promenade commence à travers une magnifique forêt de hêtres ; elle se poursuit quelques soixante-dix mètres plus bas, par un aménagement ancré dans la roche. Un premier escalier traverse un chaos d'énormes blocs encastrés entre les parois et nous livre un spectacle inattendu : la Dranse coule à près de cinquante mètres sous nos pieds, au fond d'un véritable gouffre... Situées sur le parcours de la Dranse de Morzine, les gorges du Pont-du-Diable offrent un exemple d'érosion dans les préalpes calcaires du Chablais, en Haute-Savoie. La rivière, alors qu'elle se trouvait déjà dans une vallée encaissée, a rencontré une barrière de calcaire — les rochers de la Garde — remontant au crétacé, puis recouvert à nouveau au jurassique. Cette configuration, a été érodée au fil du temps par cette rivière impétueuse, formant ainsi un défilé. Les parois se déploient comme d'immenses draperies et de curieuses excavations, les "marmites de géants" qu'ont creusé les tourbillons du torrent, renforcent le caractère fantastique du site. Tout au long du parcours, l'érosion a produit de véritables sculptures dans un matériaux de choix : un marbre gris "coussin géologique" de celui exploité dans la carrière de la Vernaz. Les ruissellements l'ont recouvert de dépôts richement colorés et si vous êtes un promeneur matinal, le soleil vous offre vers dix heures une palette magique : gris, verts, ocres et bleus évoluent au gré des premiers rayons. Ces gorges furent à l'origine un lit souterrrain creusé par des eaux infiltrées. Le chaos qui en obstrue la partie supérieure provient de la dislocation de sa voûte. Autre vestige de cet effondrement, un bloc isolé forme, à plus de trente mètres au-dessus du torrent, une arche imposante : le "Pont du Diable".
Facile d'accès, le site offre une diversité étonnante de milieux sur un aussi petit territoire : à cheval entre les communes de Thonon et Publier (Amphion), cet incroyable et insolite écrin de Nature abrite de nombreuses espèces (faune et flore)... Située entre Thonon et Publier, la réserve naturelle du Delta de la Dranse est l'une des dernières zones naturelles des bords lémaniques abritant nombre d'espèces animales et végétales. Cet espace est classé ZPS (Zone de Protection Spéciale) pour ses valeurs écologiques et environnementales. L'association Asters (conservatoire d'espaces naturels de Haute Savoie) gère cette réserve naturelle en assurant son contrôle, sa surveillance et sa valorisation aux yeux de la population. Itinéraire : au bout de l'avenue de Saint-Disdille, prendre la route sur votre droite. Une aire de stationnement paysagère vous accueille un peu plus loin et un cheminement naturel vous conduit à la réserve naturelle. On pénètre dans une zone plus forestière : en contrebas, il s'agit d'une forêt alluviale composée principalement de peupliers et de saules. C'est le royaume des petits passereaux : mésanges, pouillots, fauvettes... Continuer jusqu'à l'embouchure de la Dranse et les bords du lac. Au hasard des rencontres, on observe alors des hérons, harles bièvres, chevaliers guignette, petits gravelots...Sur la petite plage derrière la zone humide, à gauche, un arbre est rongé par le castor, animal nocturne qui fréquente le site. Les cheminements fortement creusés sont les vestiges des bras de la rivière Dranse qui coulaient ici autrefois. Regagner le chemin pour retourner vers le parking... A découvrir seul toute l'année, ou (mieux!), accompagné d'un guide naturaliste, en saison estivale (renseignements à l'Office de Tourisme de Thonon).
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Réserve Naturelle du Delta de la Dranse
Avenue de Saint-Disdille
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Facile d'accès, le site offre une diversité étonnante de milieux sur un aussi petit territoire : à cheval entre les communes de Thonon et Publier (Amphion), cet incroyable et insolite écrin de Nature abrite de nombreuses espèces (faune et flore)... Située entre Thonon et Publier, la réserve naturelle du Delta de la Dranse est l'une des dernières zones naturelles des bords lémaniques abritant nombre d'espèces animales et végétales. Cet espace est classé ZPS (Zone de Protection Spéciale) pour ses valeurs écologiques et environnementales. L'association Asters (conservatoire d'espaces naturels de Haute Savoie) gère cette réserve naturelle en assurant son contrôle, sa surveillance et sa valorisation aux yeux de la population. Itinéraire : au bout de l'avenue de Saint-Disdille, prendre la route sur votre droite. Une aire de stationnement paysagère vous accueille un peu plus loin et un cheminement naturel vous conduit à la réserve naturelle. On pénètre dans une zone plus forestière : en contrebas, il s'agit d'une forêt alluviale composée principalement de peupliers et de saules. C'est le royaume des petits passereaux : mésanges, pouillots, fauvettes... Continuer jusqu'à l'embouchure de la Dranse et les bords du lac. Au hasard des rencontres, on observe alors des hérons, harles bièvres, chevaliers guignette, petits gravelots...Sur la petite plage derrière la zone humide, à gauche, un arbre est rongé par le castor, animal nocturne qui fréquente le site. Les cheminements fortement creusés sont les vestiges des bras de la rivière Dranse qui coulaient ici autrefois. Regagner le chemin pour retourner vers le parking... A découvrir seul toute l'année, ou (mieux!), accompagné d'un guide naturaliste, en saison estivale (renseignements à l'Office de Tourisme de Thonon).
Au cœur de la cité médiévale, entrez dans une promenade sensorielle à la découverte du monde végétal. Bien plus qu'un jardin à voir, cet écrin inspiré des labyrinthes invite à l'éveil des sens : parfums surprenants, textures variées, légumes anciens...
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Az Öt Érzék Kertje - Yvoire
12 Rue du Lac
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Au cœur de la cité médiévale, entrez dans une promenade sensorielle à la découverte du monde végétal. Bien plus qu'un jardin à voir, cet écrin inspiré des labyrinthes invite à l'éveil des sens : parfums surprenants, textures variées, légumes anciens...
Point culminant du village de Bernex, la Dent d'Oche s'élève à 2222 m. Refuge situé à 2140 m, sur une arète aérienne à 80 m du sommet. Point culminant du village de Bernex, la Dent d'Oche s'élève à 2222 m. Refuge situé à 2140 m, sur une arète aérienne à 80 m du sommet. Accessible uniquement à pied, en 3 heures. Départ du restaurant la Fétiuère. Panorama exceptionnel sur le Mont Blanc et le Lac Léman. Avertissement - cette randonnée est réservée exclusivement aux bons randonneurs car dangereuse.Attendez vous à trouver des passages aériens et techniques sur la partie finale ainsi que des secteurs équipés de cables et de chaînes. Ne faisant pas partie du réseau de sentiers entretenus et valorisés par la CCPEVA, son ascension se fait sous la propre responsabilité du randonneur. »
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Refuge de la Dent d'Oche
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Point culminant du village de Bernex, la Dent d'Oche s'élève à 2222 m. Refuge situé à 2140 m, sur une arète aérienne à 80 m du sommet. Point culminant du village de Bernex, la Dent d'Oche s'élève à 2222 m. Refuge situé à 2140 m, sur une arète aérienne à 80 m du sommet. Accessible uniquement à pied, en 3 heures. Départ du restaurant la Fétiuère. Panorama exceptionnel sur le Mont Blanc et le Lac Léman. Avertissement - cette randonnée est réservée exclusivement aux bons randonneurs car dangereuse.Attendez vous à trouver des passages aériens et techniques sur la partie finale ainsi que des secteurs équipés de cables et de chaînes. Ne faisant pas partie du réseau de sentiers entretenus et valorisés par la CCPEVA, son ascension se fait sous la propre responsabilité du randonneur. »
Un panorama spectaculaire sur le plateau de Gavot, le lac Léman et la chaîne du Jura. Un lieu de contemplation et détente au cœur des alpages. Le belvédère est l'un des 20 géosites aménagés et emblématiques du Géoparc mondial UNESCO du Chablais. Une table d'orientation guide votre regard. Des panneaux vous aident à décrypter l’histoire des paysages sous vos yeux ainsi que le parcours de l'eau minérale evian. Posssibilités de balades et randonnées au départ du parking vers la Pointe de Sangeaon et la Pointe de Tréchauffé. Une ferme-restaurant ouverte tout au long de la belle saison vous propose des spécialités locales comme les fameux beignets de pommes de terre ou la Tréchaufette, une tartiflette à base de fromage de chèvre...
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Belvédère de Tréchauffé
Route de Trechauffe
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Un panorama spectaculaire sur le plateau de Gavot, le lac Léman et la chaîne du Jura. Un lieu de contemplation et détente au cœur des alpages. Le belvédère est l'un des 20 géosites aménagés et emblématiques du Géoparc mondial UNESCO du Chablais. Une table d'orientation guide votre regard. Des panneaux vous aident à décrypter l’histoire des paysages sous vos yeux ainsi que le parcours de l'eau minérale evian. Posssibilités de balades et randonnées au départ du parking vers la Pointe de Sangeaon et la Pointe de Tréchauffé. Une ferme-restaurant ouverte tout au long de la belle saison vous propose des spécialités locales comme les fameux beignets de pommes de terre ou la Tréchaufette, une tartiflette à base de fromage de chèvre...
Superbe plan d'eau niché au pied d'immenses falaises, le lac de Montriond, appelé aussi le lac vert, émerveille petits et grands de part l'atmosphère idyllique qu'il dégage et la sérénité qu'il inspire... Le lac de Montriond est né suite à l'éboulement d'une partie de la montagne de Nantaux au Nord Ouest. Cet événement géologique non daté avec certitude (de 4500 ans à 3 ou 4 siècles !) a provoqué un barrage sur le torrent qui courait au fond de la vallée, d'où la formation du lac. Soumis à de très fortes variations de niveaux entre le printemps et l'automne, le lac a finalement été étanchéisé en 1990 par de gigantesques travaux menés par la Municipalité de Montriond. Depuis, l'activité touristique y est florissante... Le lac de Montriond est aujourd'hui un vaste terrain de jeux, pour le bonheur de tous... En été un espace aménagé pour la baignade enchante les plus petits. Ils peuvent aussi profiter des balades en poneys, s'initier au canoë-kayak ou au paddle, profiter du nouveau mini-golf... Quant aux plus grands, ils aiment en faire le tour à pied et apprécient le calme de cette nature enivrante... En hiver, le lac de Montriond n'a rien à envier aux stations de ski... Il est, lui aussi, un vaste paradis terrestre qui ne cesse de combler les passionnés de ski de fond... Les planches aux pieds, avec comme seul et unique son, le bruit de la neige épousant la forme de notre ski, on apprécie la beauté de ce paysage encore vierge et la sérénité qu'il inspire...Les amateurs de sensations fortes s'arrêtent eux-aussi au lac de Montriond pour pratiquer la plongée sous-glace... Par un trou creusé dans l'épaisse couche de glace qui le recouvre, les plongeurs partent à la découverte d'un monde hors du temps pour admirer l'ivresse du ballet des bulles... Une expérience givrée à tenter sans plus attendre... Le lac de Montriond est également un véritable joyau pour tous les passionnés de pêche. Il regorge de truites fario et arc-en-ciel, d'ombles chevalier et de vairons ! La pêche y est réglementée : les amateurs devront donc attendre la fonte des neiges pour y dénicher ces trésors... En quelques chiffres, le lac de Montriond c'est : - 33 hectares de superficie ou de 25 000 à 35 000 m2 selon le niveau d'eau - 1320 m de longueur et 253 m de largeur Le lac de Montriond est un géo-site incontournable du Geopark Chablais. Sous ces eaux calmes, le lac de Montriond révèle une histoire mouvementée. En vous baladant autour du lac de Montriond, vous découvrirez l’histoire glaciaire de la vallée, la cascade d’Ardent, la formation catastrophique du lac, le cadastre sarde, mais aussi l’histoire de l’extravagant baron de l’Espée…
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Lac de Montriond
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Superbe plan d'eau niché au pied d'immenses falaises, le lac de Montriond, appelé aussi le lac vert, émerveille petits et grands de part l'atmosphère idyllique qu'il dégage et la sérénité qu'il inspire... Le lac de Montriond est né suite à l'éboulement d'une partie de la montagne de Nantaux au Nord Ouest. Cet événement géologique non daté avec certitude (de 4500 ans à 3 ou 4 siècles !) a provoqué un barrage sur le torrent qui courait au fond de la vallée, d'où la formation du lac. Soumis à de très fortes variations de niveaux entre le printemps et l'automne, le lac a finalement été étanchéisé en 1990 par de gigantesques travaux menés par la Municipalité de Montriond. Depuis, l'activité touristique y est florissante... Le lac de Montriond est aujourd'hui un vaste terrain de jeux, pour le bonheur de tous... En été un espace aménagé pour la baignade enchante les plus petits. Ils peuvent aussi profiter des balades en poneys, s'initier au canoë-kayak ou au paddle, profiter du nouveau mini-golf... Quant aux plus grands, ils aiment en faire le tour à pied et apprécient le calme de cette nature enivrante... En hiver, le lac de Montriond n'a rien à envier aux stations de ski... Il est, lui aussi, un vaste paradis terrestre qui ne cesse de combler les passionnés de ski de fond... Les planches aux pieds, avec comme seul et unique son, le bruit de la neige épousant la forme de notre ski, on apprécie la beauté de ce paysage encore vierge et la sérénité qu'il inspire...Les amateurs de sensations fortes s'arrêtent eux-aussi au lac de Montriond pour pratiquer la plongée sous-glace... Par un trou creusé dans l'épaisse couche de glace qui le recouvre, les plongeurs partent à la découverte d'un monde hors du temps pour admirer l'ivresse du ballet des bulles... Une expérience givrée à tenter sans plus attendre... Le lac de Montriond est également un véritable joyau pour tous les passionnés de pêche. Il regorge de truites fario et arc-en-ciel, d'ombles chevalier et de vairons ! La pêche y est réglementée : les amateurs devront donc attendre la fonte des neiges pour y dénicher ces trésors... En quelques chiffres, le lac de Montriond c'est : - 33 hectares de superficie ou de 25 000 à 35 000 m2 selon le niveau d'eau - 1320 m de longueur et 253 m de largeur Le lac de Montriond est un géo-site incontournable du Geopark Chablais. Sous ces eaux calmes, le lac de Montriond révèle une histoire mouvementée. En vous baladant autour du lac de Montriond, vous découvrirez l’histoire glaciaire de la vallée, la cascade d’Ardent, la formation catastrophique du lac, le cadastre sarde, mais aussi l’histoire de l’extravagant baron de l’Espée…
La Dranse est une rivière d'eaux vives du département de Haute-Savoie qui se jette dans le lac Léman. Elle est propice à la pratique de nombreux sports d'eaux vives : pêche, rafting, kayak, hydrospeed... La Dranse est issue de la réunion, environ 9 à 10 kilomètres en amont du delta, à peu près au même endroit, de trois rivières de montagne provenant des monts du Haut-Chablais : - à l'est, la Dranse d'Abondance qui irrigue le Val d'Abondance et traverse les communes d'Abondance et de Châtel - au sud, la Dranse de Morzine qui traverse, Morzine, Saint-Jean-d'Aulps et les Gorges du Pont-du-Diable - à l'ouest, le Brevon, aussi appelé Dranse de Bellevaux qui vient du Roc d'Enfer et traverse le Lac de Vallon et le village de Bellevaux. La Dranse se jette dans le lac Léman en formant un delta, intégré dans la réserve naturelle du delta de la Dranse, situé à l'est de Thonon-les-Bains, sur une petite surface de 53 hectares, mais offrant une richesse botanique incomparable. La Dranse est une rivière très abondante, comme tous les cours d'eau issus des massifs préalpins. Elle a un régime typiquement nival, avec cependant une petite composante pluviale. Elle présente des fluctuations saisonnières de débit bien marquées, comme de règle au sein des cours d'eaux alpins. Les hautes eaux se déroulent au printemps et sont dues essentiellement à la fonte des neiges. Elles s'accompagnent de débits mensuels moyens allant de 30 à 40 m³ par seconde, d'avril à juin inclus (avec un maximum en mai). Dès fin juin, le débit baisse brusquement ce qui mène très vite aux basses eaux. Celles-ci ont lieu de fin juillet à fin février et affichent un débit toujours solide, oscillant entre 12,7 et 17,1 m³ par seconde, avec un plancher de 12,7 m³ en août, et coupé d'un léger "sommet" en novembre, lié aux pluies d'automne. Mais les fluctuations sont bien plus prononcées sur de courtes périodes et selon les années. La Dranse est une rivière extrêmement abondante, alimentée par des précipitations elles aussi abondantes, dans la région des Alpes du nord. La lame d'eau écoulée dans son bassin versant est de 1 285 millimètres annuellement, ce qui est très élevé, plus de trois fois supérieur à la moyenne d'ensemble de la France. Le débit spécifique de la rivière (ou Qsp) atteint le chiffre très élevé de 40,7 litres par seconde et par km² de bassin. La dranse est propice à la pratique de nombreux sports d'eaux vive !
Dranse
La Dranse est une rivière d'eaux vives du département de Haute-Savoie qui se jette dans le lac Léman. Elle est propice à la pratique de nombreux sports d'eaux vives : pêche, rafting, kayak, hydrospeed... La Dranse est issue de la réunion, environ 9 à 10 kilomètres en amont du delta, à peu près au même endroit, de trois rivières de montagne provenant des monts du Haut-Chablais : - à l'est, la Dranse d'Abondance qui irrigue le Val d'Abondance et traverse les communes d'Abondance et de Châtel - au sud, la Dranse de Morzine qui traverse, Morzine, Saint-Jean-d'Aulps et les Gorges du Pont-du-Diable - à l'ouest, le Brevon, aussi appelé Dranse de Bellevaux qui vient du Roc d'Enfer et traverse le Lac de Vallon et le village de Bellevaux. La Dranse se jette dans le lac Léman en formant un delta, intégré dans la réserve naturelle du delta de la Dranse, situé à l'est de Thonon-les-Bains, sur une petite surface de 53 hectares, mais offrant une richesse botanique incomparable. La Dranse est une rivière très abondante, comme tous les cours d'eau issus des massifs préalpins. Elle a un régime typiquement nival, avec cependant une petite composante pluviale. Elle présente des fluctuations saisonnières de débit bien marquées, comme de règle au sein des cours d'eaux alpins. Les hautes eaux se déroulent au printemps et sont dues essentiellement à la fonte des neiges. Elles s'accompagnent de débits mensuels moyens allant de 30 à 40 m³ par seconde, d'avril à juin inclus (avec un maximum en mai). Dès fin juin, le débit baisse brusquement ce qui mène très vite aux basses eaux. Celles-ci ont lieu de fin juillet à fin février et affichent un débit toujours solide, oscillant entre 12,7 et 17,1 m³ par seconde, avec un plancher de 12,7 m³ en août, et coupé d'un léger "sommet" en novembre, lié aux pluies d'automne. Mais les fluctuations sont bien plus prononcées sur de courtes périodes et selon les années. La Dranse est une rivière extrêmement abondante, alimentée par des précipitations elles aussi abondantes, dans la région des Alpes du nord. La lame d'eau écoulée dans son bassin versant est de 1 285 millimètres annuellement, ce qui est très élevé, plus de trois fois supérieur à la moyenne d'ensemble de la France. Le débit spécifique de la rivière (ou Qsp) atteint le chiffre très élevé de 40,7 litres par seconde et par km² de bassin. La dranse est propice à la pratique de nombreux sports d'eaux vive !